Lors de la première assemblée plénière, dans son discours, Marjorie GENCE, 2ème vice président du CGJ, a souhaité orienter son action en direction des violences faites aux femmes, et des impacts chez les enfants. Le 25 novembre, journée internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes, des CGJ ont participé à un débat, en partenariat avec le collectif « CEVIF » sur ce sujet, en travaillant au préalable avec le Dr Jean-Luc TOURNIER, psychosociologue et psychothérapeute, inviter par la collectivité pour cette occasion.
En 2008, plus d’un million de femmes ont été victimes de violences physiques ou sexuelles, plus de la moitié d’entre elles ayant subi ces violences au sein du foyer. Ces violences sont l’expression la plus insoutenable de l’inégalité entre les hommes et les femmes. C’est sur ce constat que l’idée d’une action citoyenne a été entrevue lors du dernier séminaire. Il est alors important pour le CGJ de consacrer un temps fort à une action collective visant à valoriser les notions de respect et d’engagement citoyen tout en dénonçant la banalisation de la violence. Marjorie a nommé son projet « Après Maman » et concerne tous les enfants dont la mère a été tuée et dont le père est en prison. Ces enfants ont, certes, un suivi social et familial, mais ont-ils vraiment un encadrement spécifique ? L’idée serait la création d’une structure spécifique qui leur permettrait de s’épanouir malgré leur passé douloureux, et être à l’écoute de ceux qui restent dans leur mutisme. Ainsi l’action consisterait à : |